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Woman gambling regarding the Abilify class action lawsuit

Les Canadiens à qui l’on a prescrit et utilisé Abilify et Abilify Maintena peuvent se qualifier comme membre d’un recours collectif national contre le médicament Abilify.

Le 13 mars, la Cour supérieure de justice de l’Ontario a certifié le recours collectif contre Abilify, qui allègue qu’Abilify et Abilify Maintena contribuent à des comportements compulsifs et à des troubles du contrôle des impulsions.

Les comportements compulsifs et les troubles du contrôle des impulsions comprennent le jeu compulsif, le magasinage compulsif, la boulimie et l’hypersexualité.

Le recours collectif contre Abilify a été lancé en juin 2016 et allègue que Bristol-Myers Squibb, Otsuka Pharmaceuticals et Lundbeck savaient ou auraient dû savoir qu’Abilify et Abilify Maintena augmentaient le risque de développer des comportements compulsifs mais n’ont pas divulgué ce risque.

Selon le procès, le fait que les fabricants de médicaments n’aient pas averti les Canadiens des risques de comportements compulsifs associés à la consommation de ces médicaments a causé un préjudice important aux Canadiens qui ont utilisé Abilify et Abilify Maintena.

Les fabricants ont tenté de suspendre le recours collectif contre Abilify parce qu’une action similaire est en cours au Québec, mais le tribunal ontarien a déterminé que l’affaire avait une raison légitime de continuer et a refusé la suspension.

Qu’est-ce qu’Abilify ?

Abilify (aripiprazole) est un médicament antipsychotique utilisé pour traiter la schizophrénie, le trouble dépressif majeur et le trouble bipolaire 1. Il a été approuvé en 2009 et est devenu l’un des médicaments antipsychotiques les plus prescrits au monde. Au Canada, le nombre de prescriptions d’Abilify serait passé d’environ 3 000 en 2010 à plus d’un million en 2013.

Abilify serait disponible sous forme de comprimés à différents dosages. Abilify Maintena est une forme injectable d’aripiprazole à libération prolongée et est disponible à des doses plus élevées que les comprimés Abilify.

Selon le recours collectif, Abilify et Abilify Maintena sont des agonistes de la dopamine, qui ont été scientifiquement liés à une augmentation des comportements compulsifs. En octobre 2012, l’étiquetage européen d’Abilify a été révisé en réponse à un examen de la sécurité d’Abilify par l’Agence européenne des médicaments, qui a établi un lien entre l’utilisation d’Abilify et le jeu compulsif.

Toutefois, aucun avertissement n’a été inclus pour les produits Abilify vendus au Canada jusqu’en novembre 2015, date à laquelle Santé Canada a confirmé qu’Abilify était lié à un risque accru d’hypersexualité et de jeu compulsif.

Allégations contre Abilify

Les demandeurs allèguent dans le cadre du recours collectif contre Abilify que l’aripiprazole peut provoquer une conduite compulsive et une incapacité à contrôler Man gambling regarding the Abilify class action lawsuitun comportement impulsif. Les comportements spécifiques qui seraient liés à Abilify et Abilify Maintena comprennent le jeu pathologique, les achats et les dépenses compulsives, la frénésie alimentaire et l’hypersexualité.

Selon les documents du tribunal, les demandeurs décrivent « des descentes parfois dévastatrices dans ces comportements destructeurs » qui sont prétendument attribués aux médicaments Abilify.

Le recours collectif contre Abilify accuse les fabricants et les distributeurs de ne pas avoir effectué de tests adéquats avant et après la mise sur le marché d’Abilify et de ne pas avoir averti les consommateurs des risques prévisibles d’effets secondaires nocifs. En outre, les demandeurs accusent les sociétés pharmaceutiques de s’être engagées dans une conspiration visant à dissimuler les risques d’Abilify et d’Abilify Maintena.

Les demandeurs ont fait valoir des réclamations pour négligence et conspiration et ont demandé des dommages-intérêts compensatoires et punitifs.

Qui est inclus dans le recours collectif contre Abilify ?

Les membres du recours collectif contre Abilify comprennent tous les Canadiens, y compris leurs successions, qui ont été prescrits et ont pris Abilify entre le 9 juillet 2009 et le 23 février 2017 et tous les Canadiens, y compris leurs successions, qui ont été prescrits et ont pris Abilify Maintena entre le 6 février 2014 et le 16 décembre 2016.

En outre, les Canadiens qui ont une relation personnelle avec une personne au Canada qui répond aux critères ci-dessus peuvent être autorisés à faire valoir une demande de dommages-intérêts dérivés.

Un autre recours collectif contre Abilify est actuellement en cours devant la Cour supérieure du Québec. Les membres du recours collectif du Québec comprennent des Canadiens qui ont pris Abilify avant le 23 février 2017 et qui ont développé un ou plusieurs des troubles de contrôle des impulsions suivants : jeu pathologique, alimentation compulsive, achats ou dépenses compulsives, et/ou comportements hypersexuels ou dépendance sexuelle. Le délai d’exclusion dans ce cas a récemment été prolongé jusqu’au 19 novembre 2020 en raison des perturbations causées par la pandémie de COVID-19.

Avez-vous, ou quelqu’un que vous connaissez, pris Abilify ou Abilify Maintena et souffert de comportements compulsifs ? Racontez-nous votre histoire dans les commentaires ci-dessous.

Les membres du groupe sont représentés par Me Joel Rochon et Me Golnaz Nayerahmadi du cabinet Rochon Genova LLP.

Le recours collectif contre Abilify est : Kirsh v. Bristol-Myers Squibb, et al., Case No. CV-16-553833-00CP, devant la Cour supérieure de justice de l’Ontario.

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22 thoughts onLe recours collectif contre Abilify avance à l’échelle nationale

  1. Christine says:

    Mon fils a recommencé sa dépendance aux jeux vidéo depuis qu’ils lui ont represcrit du Abilify et il a dépensé 200$ d’une claque pour acheter des accessoires pour les jeux vidéo. Il a de la difficulté à se concentrer dans ses cours et sa mémoire est à court terme. Ils lui ont prescrit l’Abilify juste après une psychose…

  2. jonathan espino says:

    bon, ou commencer?
    depuis l’age de 13 ans je prend ce medicament, la premiere anner je commencais a me sentir pas necessairement moi meme, je commencais a visioner de la pornographie beaucoup plus que souvent, je voyais mon comportement changer, mon addiction pour de la drogue s’aggravais.
    je fesais des depenses inutiles, jai meme eu beaucoup de problemes judiciaires, durant se temp je parlais a ma psychiatre a propos de ces comportement inhabituels et elle insistais que je continue a la prendre.
    ca la durer come ca pendant 13 ans de temps.
    c’est just cette anner, en prison que un co-detenue m’a informer a propos de ce recours et j’etais epoustoufler.
    car le pire de tout ca, c’est que j’etais sous une ordonnance de la cour pour la prendre.
    moi, jai commencer a avoir des problemes de confiance envers le personelle de la santer, car moi, pensant que il savent ce qu’ils font et mis ma confiance dans leurs mains m’a juste rendu parano.
    jai arreter se medicament il a un ans et je me sens mieu, mais pas tout la.
    j’ai des sequels come des tiques ne nerfs.
    c’est come si je me suis reveiller d’un cauchemar.
    les depenses que jai fait pendant ces temps la, c’est meme pas estimable.
    tout pour dire, les psychiatres devrais s’informer et s’orienter plus decu le patient que leurs propres jugement et discipline.

  3. Kevin turcotte says:

    Pour vous decrire une situation j’ai été en 2014 victime d’une psychose j’etait medicamenté un peu auparavent avec un medicament dont je ne me souviens plus le nom a partir du 7 janvier 2014 j’ai ete hospitalisé pendant 4 mois au debut il mon prescrit de l’abilify en comprimé pendant une periode x j’ai refait un high ils ont cessé pour ensuite me remettre sur invega sustenna 150 mg pendant 4 ou 5 ans. Stabilisé retour sur abilify. 2018 ou 2020 je ne me souviens plus suite a cela beaucoup de facebook market place beaucoup de changement de vehicule gambling et j’en passe si ce n’etait pas de cet abilify et les impulsions quil nous donnnent je serai riche. Maintenant tres pauvre…. sur le bord de casser ….. besoin d’aide svp environ 100k de depenses totales depuis que je suis sur ce medicament. Merci

  4. Stephane dagenais says:

    Avant de prendre abilyfy j avais accumulé 13 années d’abstinence alcool cannabis j’ai recommencé à consommer j’ai recruter tout les années que j’ai pris se médicaments à part troube de jeux sexe compulsif j’ai enfin réussi à sesser avec le doc j’ai plus le goût j’ai pas recommencé à prendre drogue l’alcool fini la compulsion sexe alcool jeux

  5. Stephane Dagenais says:

    J’ai pris abylify pendant environ 10 ans compulsions et quand j’ai arrêté remord culpabilité regret honte colère

  6. Yoan Collinet says:

    J ai pris abilify pendant plusieurs années, dépendance au jeux on suivi… Je l ai arrêté contre l avis de mon psychiatre… Heureusement, les dommages sont inchiffrable… Mon revenu tout les mois pendant plusieurs années… Que faire ?

  7. Marie Groleau says:

    J’ai tout perdu biens matériels et financiers, fais faillite et développer boulimie et effets secondaires extras paramideaux tel que diabète type 2 et maladie grave au foie. Communiquer en français avec moi svp.

  8. Marie Groleau says:

    J’ai tout perdu biens matériels et financiers, fais faillite et développer boulimie et effets secondaires extras paramideaux tel que diabète type 2 et maladie grave au foie.

  9. Soumaya says:

    J’ai développé une addiction au jeux d’argent en ligne 3 mois après la prise de l’Abilify. En effet je n’ai pas été averti des risques jusqu’a qu’un psychiatre me reçoive en rdv d’admission pour une cure de sevrage. J’en ai fais part à mon psychiatre mais sans suite jusqu’à qu’il m’appelle un jour pour me dire de ne plus prendre l’abilify et il me change de traitement et me dit qu’il n’en avait pas la notion des risque et qu’il s’en excuse.
    En attendant j’ai contracté 30 000e pour jouer.

  10. Johanne Monette says:

    J ai fait des jeux en ligne et j ai perdu environ 150000$ j appelle pour leur parler jamais de réponse

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